
Saba et le jour sans refit.
Descente Paris Saint Brieuc via le Mont où juste après le Couesnon, le pays breton sent meilleur. Stop photo dans un chemin creux, failli me prendre le suivant dans l’arrière train à la suite de mon coup de frein pré-panoramique. Ou plutôt du panorama au bout du pré. L’Amour est dans le proche.
Retrouvailles au Légué avec Sophie et Benoit et bien sur avec Saba.
Papotages entre vernissages.
Objectifs : ponçages des parties à vernir à terminer, antifouling, rangements intérieurs, remplissage aqueux de la cale, peinture rouf, …
Pour poncer ça a poncé. Bôme etc… et première et seconde couche de vernis.
Antifouling Blanc de brume ou Blanc brumeux. Ravissant : 2 couches et un tour à la flottaison où que les herbes prolifèrent.
A propos de la bôme, l’idée primitive du sel d’oseille fut remplacée par une top ponceuse. Ce qui causa son malheur ! Car la poussière de spruce enflamme les ponceuses. Ça a cramé avec des flammes effrayantes !
Là ce fut le lundi.
Prévenus discrètement en fin de journée que mardi, Mac et ses larbins venaient déjeuner au Légué. Avec accès interdit et magasins fermés. Tout inaccessible ! Avec possibilité d’accéder après 15 heures qu’il eut terminé de se restaurer. On s’est pointé à 15 heures et Le Précieux en même temps, en retard. Et nous autres, peuple contribuable, refoulés. Vous n’êtes pas sur la liste a dit le casqué botté bleu marine.
On est allés se promener à Binic dans la brume. Pour terminer le boulot le mercredi avant de repartir. Non sans contempler le séchage sur filière du linge intime britannique.
Malheureux que dans cet ex joli pays où les postiers, les cheminots, les personnels aériens et plein d’autres travailleurs protégés font grève constante, ceux qui n’ont AUCUN droit de s’exprimer sont interdits de bosser. Ça ne tourne pas rond Mac ! Il est là-bas au fond!
La suite à suivre, notamment la mise à l’eau de la coque sèche.
Interrogation subsidiaire sur laquelle je reviendrai indubitablement : l’armateur d’un yacht classique doit-il avoir une culture maritime ?
Et puis, back home, j’ai arrosé le menhir qui souffre de sècheresse enfin je pense